Dans un mauvais monde: la poursuite pour la grâce qui embrasse à tous

Posted: December 26, 2016 in history

francois-paris-jansenistesaint_cyranmonsieur-de-sainte-colombeSONY DSCcardinal-richelieuhughenots-fugitives-revocationrefugies-protestantes-en-prussetartuffe-par-molierecandide-et-lesclave-par-voltairela-revolution-francaise-de-1789la-rochefoucauld

Combien des temps nous nous restons inquiètes pour les tourmentes mentales: les nuits sans dormir, l’angoisse du futur, les attaques de mémoire sur le passé, et les fantaisies incroyables?

La vie n’est pas facile, c’est vrai; par contre, nous savons que la vie peut-être a plus de bonté pour nous. Nous existons par le peur et le timidité quand même. Les chemins de la vie sont presque comme les niveaux tordus dans le Purgatoire de Dante.

La vérité pour survivre ce monde méchant et sinistre est l’entendement de la grâce qui embrasse à tous.

Je n’écris pas du christianisme. Je parle de la réalité sur l’humanité sous la condition de la civilisation. Tous des humains sont coupables des stupidités et des négligences. Nous sommes très humains, donc nous devrions lutter pour nôtres esprits libres.

La vrai grâce est suffisante pour tous. Elle bien travaille pour nous, et en même temps pour nôtres ennemis. Toute la condition humaine fait des péchés et des mauvaises choses. Nous sommes touts coupables.

L’ignorance, les délusions malades, les désirs et les haines ensemble préparer la soupe de la mauvaise mort. C’est pour ça la grâce suffit pour les conscients et pour les inconscients. L’injustice règne suprême et le karma de la histoire humaine tue sans remords.

Il était autour du milieu de seizième siècle. Fut du temps des duels, des hommes galants avec les cheveux longs et des épées dénudées. Il y avait ausssi des mignons et des parasites aristocrates, de l’injustice des états sociaux, de la pauvreté et de la misère dans la campagne, de la grande chasse aux sorcières, et du fanatisme religieux. Tout arriva des excréments de l’ancien régime. Les Guerres de la Religion, et surtout les doctrines controversés et alambiqués du Christianisme, n’avaient pas de terminer.

Dans ceux époques là, Il y eut autre controverse sur la grâce. Un prêtre Basque vivat dans le Midi de la France, à la ville de Bayonne. Lui prédicat la grâce inconditionnelle. Su nombre fut Jean du Vergier de Hauranne, ou L’Abbé de Saint-Cyran.

Ce prêtre écrit que la vraie contrition suffisait pour la grâce de Dieu. Son Ami de la Foi fut un autre prêtre flamand, Père Cornelius Jansen, qui avait fondé l’idéologie, et à la fois religieux/politique, saisonnées par la grâce inconditionnelle. Les fondateurs souvent utilisèrent des pénitences religieuses, très strictes et vraies dures. Ils s’appelaient, Les Jansénistes. Avec tout dans la souffrance, on fit la plus grande contrition, et encore plus de la grâce – jusqu’à l’esprit du soldat de Dieu.

Dans le mêmes temps, il y eut aussi La Société de Jésus, ou La Compagnie des Jésuites. Ils furent l’ordre religieux plus importante et puissante de L’Eglise. Père Jansen fut the fondateur de Jansénisme, par contre Abbé Saint-Cyran fut l’écrivain, et simultanément le propagandiste et le général de l’ordre hérétique.

Saint-Cyran attaqua les Jésuites primairement; toutefois, les Jésuites avaient l’oreille des Royaux, sur le personnage de Armand-Jean du Plessis, ou le Cardinal de Richelieu. La Guerre de la Religion en France se commença de nouveau.

La France avait toujours eu des problèmes idéologiques, partout religieux-politique, depuis les premiers étapes de fondation de la Patrie. Fut dans l’époque Merovingien, du milieu de cinquième siècle, il y a plus d’un millenium.

Il y avait des guerres contre les Musulmans Sarrasins, les Alamans palans, les Juives, les partisans des Anglais Plantagenets, l’ordre de Chevaliers Templiers, les hérétiques Manichéens, comme les Cathares, et récemment, les Protestants Huguenots.

Les Jansénistes devinent le dernier groupe d’ennemies du Royaume Français avant La Révolution Français. L’éclair de La Révolution fut l’idéologie et mouvement Janséniste.

Les Jansénistes voulurent une église très catholique et très française concurremment. D’après-eux, Ils furent plus nationalistes, ou Galiciens, et même plus catholiques, ou Augustiniens, que les catholiques sous la papauté. Pendant le plupart du quatorzième siècle, la Papauté resta à La France, à Avignon. Les Jansénistes formèrent aussi des cadres intellectuels à leur monastère de Port-Royal-des-Champs, comme le philosophe, Blaise Pascal, et le dramaturge, Jean Racine.

Au fin de cette histoire absurde et tragique, le Cardinal de Richelieu dut passer à l’action. En 1638, le Cardinal emprisonna l’hérétique, l’abbé de Saint Cyran, dans le château-prison de Vincennes. Après la mort du Cardinal en 1643, Saint Cyran marcha dehors du prison. Il ne fut pas le même homme d’avant. Plusieurs mois après, il mourut en prière; et vingt ans après, un homme dramaturge, Jean-Baptiste Poquelin, ou s’appela, Molière, écrivit son bon œuvre contre l’hypocrisie religieuse, Tartuffe.

La mémoire de Saint Cyran eut le dernier rire. La Royauté Française continua à persécuter les dissidentes religieux en France. Le Roi Soleil de L’Empire Française, Louis XIV, décréta La Révocation de l’Édit de Nantes, ou de La Révocation du Tolérance de Cultes, en 1685. Tous les Huguenots, ou les Protestants Français, durent partir de La France; ainsi cet acte ruina l’industrie e le commerce capitaliste du pays.

Les pluparts des Protestants Français déménagèrent plus tard en Grande Bretagne, aux Pays Bas, en Prusse, aux colonies d’Amérique Britannique, comme Le Carolina, et dans L’Afrique du Sud. Tous ces pays bien utilisèrent tels bons émigrants – et presque touts furent aussi les ennemis de La France! Le reste des Protestants en France vécurent son culte en secret, et autres provocateurs, ou martyrs, moururent en prison.

En 1709, L’Eglise et La Royauté ensemble fermèrent le Centre des Jansénistes, Le Monastère de Port Royal. Quelques années après, ils le détruisirent; cependant, durant ce temps-la, un étudiant dans une école Jésuite rejeta ses études scolastiques et le dogme de L’Eglise. Il s’appela, Françoise-Marie Arouet. Ce grand intellectuel de l’Illustration Européenne s’appela, Voltaire. En 1759, Voltaire publia son conte littéraire et philosophique, Candide, sur le vagabonde sage qui voyagea par tout le monde. Trente ans après, La France sauta en lutte, La Vraie Révolution. La France ne fut pas le même pays d’avant.

Il y aura du sang. La France se roule encore comme ça. Les cycles historiques ne ferment jamais et la Sagesse fait la morale dans les salles vites.

Après tout, la Folie fait l’apparition sur la scène. Un aristocrate du seizième siècle tire soudainement les rideaux. Il s’appelle, François de La Rochefoucauld. Il raconte:

Il faut écouter ceux qui parlent, si on veut en être écouté.

La grâce est suffisante.

 

 

 

 

 

Comments